Cette année, Kami a rejoint le club des avatars virtuels, et apporté un vent de nouveauté : Kami est atteinte de trisomie 21. Cette nouvelle influenceuse a été réalisée à l’aide de 100 portraits de jeunes femmes venant du monde entier, également atteintes de trisomie 21. Jusqu’alors, aucune personnalité publique n’était atteinte de ce syndrome. Au contraire, les influenceurs virtuels sont souvent des modèles de perfection, qui continuent de véhiculer des standards physiques non diversifiés. Un projet qui montre que les causes sociales sont peut-être plus visibles lorsqu’elles sont incarnées, mais aussi digitalisées.
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