En termes de RSE, et plus particulièrement de responsabilité environnementale, la problématique du climat n’est plus le seul enjeu pour les entreprises, qui doivent dorénavant prendre la mesure de l’impact de leurs activités sur la biodiversité. Actuellement 24% de la surface de la France métropolitaine serait artificialisée à cause des activités des entreprises. Le congrès de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui s’est tenu au mois de septembre, a réuni scientifiques, représentants gouvernementaux, associations de défense de l’environnement et chefs d’entreprise, qui se sont accordés sur la nécessité de mettre en place des outils de mesure permettant d’établir un lien quantitatif entre l’activité économique de l’entreprise et son impact sur la biodiversité.
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